Dans une déclaration commune le CSTB et son homologue allement,le DIBt prennent position sur l'évaluation technique de produits de construction basée sur des essais virtuels. Objectif : réduire des coûts dans le domaine de la construction.
Près de quarante années après la fermeture du plus célèbre music-hall marseillais (le lieu ferma définitivement ses portes en 1965), l'Alcazar transformé en bibliothèque a rouvert ses portes début mars 2004. L'ouvrage qui a fait l'objet d'une rénovation lourde et d'un budget conséquent est l'oeuvre des architectes Adrien Fainsilber (mandataire) et Didier Rogeon. Une demande d'Appréciation technique d'expérimentation (Atex) a été déposée auprès du CSTB.
On parle communément de « bâtiment intelligent », mais quid des « matériaux de construction intelligents »? Des revêtements à base de dioxyde de titane déjà connus pour leur capacité d'autonettoyage sont étudiés pour fonctionner en qualité d'absorbeurs et d'éliminateurs de certains polluants atmosphériques. Idée futuriste ? Pas vraiment, puisque ces produits Hi-Tech sont actuellement mis au point et testés dans le cadre du projet PICADA dont l'bjectif est la commercialisation « in fine » et, ce dès 2005, de produits aisément applicables à froid en façade et développant des propriétés autonettoyantes et dépolluantes probantes.
Les procédés de renforcement des structures par collage de fibres de carbone, simples à mettre en oeuvre, permettent d'accroître la capacité résistante des structures. Le CSTB travaille sur le sujet au niveau de la recherche et de l'évaluation. Applicables essentiellement en réhabilitation, ces procédés sont actuellement en train de se développer.
La société Boulenger, spécialiste des revêtements de sols coulés, fête en 2004, son 200ème anniversaire avec pour bagage une force d'innovation toujours renouvelée.
Première à mettre au point en 1936, un revêtement coulé à base de latex de caoutchouc naturel, remplacé par la suite par de la résine polyurétane, Boulenger a obtenu pour son produit leader, le Terrazoflex H, un Avis Technique intégrant les caractéristiques environnementales et sanitaires. Jacques Berlemont, son Directeur Général, explique les raisons de cet engagement dans la qualité environnementale.