Une rencontre entre professionnels de la sécurité incendie était organisée le 8 décembre dernier à la Grande Arche de la Défense dans le cadre du Projet national "Ingénierie de la sécurité incendie". Objectif : faire le point sur les travaux relatifs à l’évacuation des personnes en immeuble de grande hauteur.
Le Conseil général des Alpes-Maritimes a choisi le CSTB, associé au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), pour produire le CD-Rom "Construire parasismique". Un outil pédagogique et technique destiné en premier lieu aux professionnels du bâtiment.
En 1995, une première étude de l’Inserm estimait qu’en France, 84 000 enfants étaient atteints de saturnisme , une intoxication domestique par le plomb… Depuis, les réglementations ont évolué : le plomb dans l’essence a par exemple été supprimé, la loi sur la lutte contre l’habitat indigne est passée par là et des objectifs ambitieux liés à la loi de santé publique du 9 août 2004 en matière de réduction du risque d’exposition au plomb ont été fixés. Pour en savoir davantage, la Direction Générale de la Santé, via l’Institut de Veille Sanitaire, s'est adressée au CSTB.
Une première barrière physique anti-termite vient de bénéficier d'un Avis Technique (ATec 16/08-545). Composé d’un treillis en acier inoxydable dont le maillage est de 0,66 mm x 0,45 mm, il stoppe toute pénétration de ces xylophages dans les bâtiments.
Le CSTB a publié en novembre 2008 "Le radon dans les bâtiments : guide pour la remédiation dans les constructions existantes et la prévention dans les constructions neuves". L’ouvrage présente les savoir-faire développés depuis une décennie dans ce domaine. Le tout en accord avec le contexte réglementaire.
A l’instar de la catastrophe du Mont-Blanc (1999), les incendies dans les tunnels génèrent de véritables traumatismes collectifs. Les inspections effectuées après les sinistres montrent des structures en béton fortement endommagées. L’éclatement (ou écaillage) du matériau est dû à son instabilité thermique. Ce phénomène affecte la tenue des ouvrages, avec des coûts de réparation et d'immobilisation pouvant atteindre des millions d'euros.